Street Style - Haute Couture 2021/2022

Jo Ellison nous donne envie de nous essayer au camaïeu mêlant carreaux pied-de-poule et carreaux bûcheron (voir ici).
Si sur le papier le télescopage entre caraco et jogging ample affiche un certain potentiel, sa mise en application s'avère malheureusement décevante… (voir ici)
Depuis le défilé Vêtements printemps/été 2016 de Demna Gvasalia, les livreurs DHL ont toute leur place au sein des séries street style (voir ici).
Une fois de plus, Giovanna Battaglia nous prouve que chic, fraîcheur et sophistication peuvent faire très bon ménage (voir ici, ici et là). 
Une trop grande différence de saisonnalité entre les pièces d'un look a tendance à parasiter l'aura de ce dernier (voir ici). 
Le duo col montant/cheveux lâchés sur les épaules ne permet pas de créer un effet visuel flatteur (voir ici).
En dehors des podiums et des pages des magazines, la morphologie des mannequins apparaît presque étrange (voir ici).
Simple, efficace et non dénué de caractère, le mix robe tee-shirt bleu fumée/santiags fauve apparaît paradoxalement plus enthousiasmant que bon nombre de toilettes plus sophistiquées (voir ici).
Non aux sacs "Polly Pocket" ! (voir ici) Un souffle goth-victorien semble avoir soufflé sur le dressing de certaines participantes à la semaine de la haute couture (voir ici et là).
Porté sous le menton, le masque chirurgical a des faux airs de masque facial amincissant... (voir ici et là)
Apercevoir Sarah Lerfel et sa silhouette si reconnaissable - jupe ample, baskets pointues et cheveux courts - nous fait repenser avec nostalgie à l'ère Colette (voir ici).
Mais ou est donc passée la fraîcheur de Bryanboy ? (voir ici et là)
Associé au tandem baskets blanches/tee-shirt blanc, le costume pastel bien coupé reste une valeur sûre et ce aussi bien pour les femmes que pour les hommes (voir ici).
Le total look noir n'est pas un laissez-passer automatique vers une tenue réussie... (voir ici et là)
Le film "Clueless" semble avoir des effets à retardement… (voir ici et là)
En matière d'allure, tout est question de proportions et de longueurs bien choisies. Dommage que certaines aient tendances à l'oublier... (voir ici et là)
En misant sur des imprimés audacieux, Anna Wintour parvient presque à "déréfrigérer" son allure (voir ici et là). Il est intéressant de constater qu'un seul et même concept (ici le baggy multipoches) peut donner naissance à des résultats à la saveur diamétralement opposée (voir ici et là).
Pour la rentrée prochaine, on conserve l'idée du trio robe chemise en jean XL/chaussettes réchauffant le bas du mollet/mocassins un brin massifs (voir ici).
Insolite mais non dénué d'intérêt, le télescopage djellaba/perfecto est à étudier de plus près (voir ici).
Le costume oversize n'en finit pas de cannibaliser la dégaine de celles qui s'y glissent… (voir ici et là)
On aime quand le tissu prend le pas sur le vêtement... (voir ici)
Legolas a bien changé… (voir ici)
On a enfin percé le secret de la ligne filiforme des mannequins couture : se partager à 5 une tranche de melon en guise de déjeuner (voir ici).
Avec ses mèches espiègles et ses immenses lunettes à demi fumées, Mathilde Warnier pimente la notion de glamour (voir ici).
Pantalon de costume 7/8 et bottes seventies ne font pas bon ménage, n'en déplaise à l'ex-rédactrice en chef de Vogue Paris (voir ici).